Référendums étudiants diplômés
08/07/2020 08:02:00 |
16/ذو القعدة/1441|Temps de lecture : 395
Au nom de Dieu le Clément, le miséricordieux
Son Eminence l'autorité religieuse, Ayatollah Muhammad Al-Yaqoubi
Paix, la miséricorde et les bénédictions de Dieu soient sur vous !
Au tout cas, nous sommes un groupe d'étudiants en Théologie au niveau supérieur, nous avons été confrontés par de nombreux problèmes lors de la rédaction de travaux de scientifique ou de la rédaction de thèse.
Nous devons avoir la connaissance de la jurisprudence ou de la disposition légale, en espérant que votre sincérité soit répondue afin que la jurisprudence soit distincte pour notre compréhension.
1- Si un étudiant a lit une pensée quelconque spécifique dans un livre distinctif, puis il reformule cela dans une nouvelle formulation ou l'abrège et la met dans sa thèse ou son travail, doit-il légalement mentionner la source dans laquelle il l'a puisé cette idée même s'il ne l'a pas écrite de la même manière qu'existe le texte ?
2- Si l'étudiant a lit un texte dans un livre particulier et que ce texte est tiré d'un autre livre et que la source est mentionnée dans la marge, est-il permis pour lui de paraphraser plutôt au niveau de la citation l'adresse dans son travail la source principale, sans pourtant écrire la référence du livre de la source qu'il y a trouvée?
3- Quel est le verdict sur l'hypothèse précédente, notant qu'elle se réfère à la source principale afin de la lire et ensuite de la paraphraser dans son travail à partir de la source principale, de sorte que la source du transfert sera uniquement une source indicative?
4- Si l'étudiant a offert une idée spécifique avec ses efforts, toutefois qu'il a ensuite constaté que l'un des auteurs précédents avait proposé aussi cette idée avant lui dans un livre quelconque, doit-il l'indiquer cette citation dans son travail scientifique ?
5- Est-il permis d'écrire le travail scientifique sous-forme d'un texte - texte۔ Le même texte d'un livre précédent présent de la différence entre le contenu sr le plan scientifique ou sur le plan de la méthode de présentation, et enfin sur le plan de la capacité ou d'abréviation ?
Que Dieu agrée vos bonnes actions ; alors que, nous vous demanderions de prier pour nous et pour tous les étudiants afin que nous puissions aller de l'avant.
Groupe d'étudiants en Théologie au niveau supérieur dans l'université de Kufa 21 / Ramadan / 1441 AH
15/05/2020
Au nom de Dieu le Clément, le miséricordieux
Paix, la miséricorde et les bénédictions de Dieu soient sur vous !
Que Dieu exhausse vos actions et fasse de vous ses invités en ce mois sacré de Ramadan !
1- Il n'y a aucune objection à ne pas mentionner la source de la pensée tant qu'elle a été formulée par le chercheur lui-même, car l'être humain d'après sa nature reprend des idées entendues, soit relues quelque part, ou soit perceptibles, et il ne doit pas attribuer une citation à chaque idée qu'il a éditée à partir de la source de son inspiration et de son effort intellectuel.
2- le fait de revenir à la source originale mentionnée dans la marge et cela se détache directement de celle-ci. Si elle est prise en compte par l'intermédiaire, afin de mentionner le texte cité dans une source quelconque. Dont cela a été emprunté d'une autre source, et cela nécessite la confiance de l'auteur vis-à-vis de la science.
3- Sa réponse est présentée comme une réponse autorisée.
4- Il n'a pas l'obligation malgré cela, il peut être considéré comme un manque de ses recherches scientifiques, car on lui dira que cette idée existant dans la source. Dont, alors pourquoi ne l'avez-vous pas paraphrasée, s'il a amené l'autre source à la place de cela, non pas enfin de la faire transférer, mais plutôt afin d'attester la confiance de l'opinion qu'il l'a trouvée identique à celle qu'un autre auteur a répertoriée.
5- Si aucun autre avertissement n'est requis, cela est comme-ci on veut détourner l'attention des destinataires en gaspillant l'effort précédent, la fraude ou le faits de violer les lois convenablement applicables pour obtenir les certificats ou les diplômes, etc., il n'y a pas d'objection à cela, et la disposition légale peut stimuler cette loi avec une autre loi remplaçable, car, l'établissement scientifique ne voit rien de mal à cela, donc vous trouvez qu'un bon nombre de références en matière de la religion Depuis l'époque de M. Mohsen Al-Hakim (Qu4Allah agrée son âme) jusqu'à ce jour, pendant lequel ils ont appelé leur travaux de la jurisprudence pratique (Minhaj Al-Salehen).
Ayatollah Muhammad al-Yaqoubi
24 Ramadan 1441