« Dans le passé j’avais un frère en Allah, il était exalté, à mes yeux, de la petitesse de ce monde à ses yeux, il était en dehors de l’autorité de son ventre »
Le Référent Religieux Cheikh Mohammad al-Yacoubi (que Dieu lui accorde la longévité)
Au Nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
« Dans le passé j’avais un frère en Allah, il était exalté, à mes yeux, de la petitesse de ce monde à ses yeux, il était en dehors de l’autorité de son ventre »
Les caractères de l'homme de Dieu :
« Dans le passé j’avais un frère en Allah, il était exalté, à mes yeux, de la petitesse de ce monde à ses yeux, il était en dehors de l’autorité de son ventre, il ne désirait pas ce qu'il ne possédait pas, et il n’accroissait pas lorsqu’il possédait. Dans la plupart de son temps il était silencieux, et s’il parlait, il dominait les parleurs, et irriguait la soif des demandeurs. Il était faible et affaibli, et s’il y avait du sérieux, il y était un lion de la jungle, et un serpent de la vallée, il ne faisait pas objection jusqu’à ce que le juge arrivât. Et il n’admonestait personne s’il y a une excuse [de son acte] jusqu’à ce qu’il entendît son excuse, et il ne plaignait pas une douleur hormis à la suite de sa guérison. Et il faisait ce qu’il disait, et il ne disait pas ce qu’il n’aura pas fait. Et s’il était dominé dans la parole, il ne serait pas dominé dans le silence, et il préférait d’avoir écouté que parlé, et s’ils se présentaient deux choses devant lui, il renonçait le plus proche de sa passion. Alors vous devez adopter ces mœurs, en y rivalisant, et si vous y êtes incapables, sachez que le fait de prendre un peu est mieux que laisser beaucoup ».
Cette sagesse appelle à se caractériser de bonnes mœurs influentes par rapport à la gravure de l’image de l’être humain et à la formation de son impression de façon positive. Et ces mœurs sont tellement importantes si bien que l’Imam Ali (as) exhorte à les adopter même s’il est seulement de façon partielle du fait de son rôle de fondateur chez l’individu des principes du bien et de la force, en lui faisant l’objet des louanges. Ensuite, si l’individu ne les adopte pas pour ces particularités naturelles, il pourrait les adopter dû à sa dimension publicitaire et médiatique comme une personne excellente accordée de l’importance au sein de sa société.
Et cela génère beaucoup d’avantages au profit de tout le monde. Et si nous nous tous engageons de veiller sur l’adaptation de ces bonnes mœurs, ces dernières produiront l’intérêt social qui fait l’objet d’ambition à réaliser par rapport à nos responsabilités religieuses et morales dans nos sociétés. Et on rapporte un récit du Grand Prophète (sawas) : « vous êtes tous des bergers, et vous serez tous interrogés sur ce que vous êtes censés à entretenir ». L’Imam est berger et responsable de ce qu’il est censé à entretenir, l’homme est un berger dans sa famille, et responsable de ce qu’il est censé à entretenir, la femme est une bergère dans la maison de son mari, et responsable de ce qu’elle est censée à entretenir, le domestique est un berger de l’argent de son patron, et responsable de ce qu’il est censé à entretenir. Ce qui fait que tout le monde est sur un pied d’égalité devant la responsabilité juridique.
Et parmi les mécanismes qui garantirent l’adaptation d’une attitude dans la société s’agissent la campagne populaire de sensibilisation, et l’engagement personnel à l’égard de ces qualités suivantes :
a) minimiser la valeur de ce Monde, et ne pas lui donner une valeur ajoutée par rapport à ce qu’il mérite. Par contre, il doit être considéré comme une station qui sert un pont de passage vers une autre station. Donc, l’homme doit limiter l’importance accordée à son endroit, en raison de sa certitude concernant sa séparation de lui. Alors pourquoi s’intéresser à quelque dont la séparation est inévitable ?!
Cependant, il a le droit de s’intéresser à ce qui aide à réaliser l’objectif, et accomplir la tâche, car l’excès consiste en gaspillage et gabegie.
En fait, l’opération d’équilibre entre les choses est indispensable du fait de son importance qui découvert le niveau de l’intellect de l’être humain dans la mesure où il accorde à toute chose ce qu’elle mérite. C’est la raison pour laquelle l’impression de l’Imam Ali (as) à l’endroit de ce frère se distingue d’un tel niveau de grandeur et du respect jusqu’à ce qu’il exhorte la communauté à adopter ses mœurs et ses caractères. C’est qu’en effet, cela ne s’agit pas du caractère de celui qui a raté son coup dans la vie en y désespérant. Au contraire, c’est un noble caractère à adopter, concernant même celui qui fait l’objet de la destination de la chance générée par la vie, puisque ce cadeau de la vie change la destination à son profit, au détriment d’autrui en lui tournant le dos.
Alors, l’amoindrissement de la valeur de la vie est une métonymie à l’égard de la connaissance qui sert à adopter la méthode du traitement qui se reflète sur les actions de l’être humain qui ne font pas l’objet de dissimulation.
b) le contrôle du ventre, car certains s’impliquent dans le vol, le mensonge, la tricherie, la duperie, et d’autres désobéissances à cause de son manque de contrôle de ses penchants liés à son ventre. En conséquence, il va avoir l’affaire avec la lois divine ou positive pour qu’il paye une contravention, passe une période en prison, ou bien ternisse son casier judiciaire, en étant privé de certaines opportunités d’emplois et de fonctions.
En réalité, la méthode de contrôle est facile, car l’être humain lui suffit l’abordable sans demander autrement pour but de ne pas user des voies tordues afin d’acquérir ce dont il désire. Ainsi qu’il ne doit pas accroître ce qui est accessible pour qu’il ne soit pas victime des maladies de la mauvaise réputation, telles que l’avidité, la convoitise, et d’autres qui consistent en la turpitude dans la société.
En outre, nous pouvons généraliser le jugement pour dépasser les désires liés au ventre entant que le récipient de la nourriture et du breuvage, en incluant l’ensemble des autres plaisirs : la sexualité, le vêtement, l’ameublement, et d’autres luxures, pour que l’être humain ne devienne pas une sorte d’un hologramme à parader, en croulant sous les dettes rien qu’à s’adonner des plaisirs corporels qui affectent rapidement la force corporelle avec des maux qui nécessitent des chirurgies, ou constituent des gaffes sociales qui poussent les gens de l'éviter à cause de ces caractères. Et s’il se permet d’accaparer les effets personnels des autres juste parce qu’il en désire, il serait victime de l’égoïsme, et de l’amour de soi excessif contrairement à l’altruisme.
Au demeurant, le contrôle du ventre est un entraînement de patience, d’endurance, et du courage, d’où cette attitude fait partie des nobles caractères. Et l’adaptation de cette attitude se faite à travers le dépouillement des habitudes en classant celles qui sont morbides pour pouvoir finalement les soigner, ensuite atteindre à la phase de contrôle parfait des penchants et des passions afin d’être à l’abri des critiques et des dérives néfastes générées par ses sales habitudes.
c) le contrôle de la langue, dû à sa nature entant qu’une source importante pour faire déplacer l’être humain à différents endroits. Alors, s’il parvient à contrôler ce membre, il aura la possibilité de contrôler les autres. Etant donné qu’il constitue un instrument de définition des idées et des tendances de celui qui parle. Ce qui fait que les autres membres ont les foies. Nous en trouvons l’illustration dans un hadith du Noble Prophète (sawas) : «la langue sera châtiée du châtiment unique de son genre par rapport le châtiment subi des autres membres, et elle dira : Ô seigneur pourquoi tu me fait subir un tel châtiment dont les autres membres ne subissent pas ? et Il lui dira : un mot est sorti de toi ayant atteint l’Est et l’Ouest de la terre, en conséquence le sang inviolable est versé, l’argent inviolable est arraché, et la vulve inviolable est violée, alors je jure par Ma Honneur que je te fais subir un châtiment dont je ne châtie aucun membre»[1].
Et on rapporte un autre hadith de l’Imam Ali Bin al-Hussein concernant le sujet : «la langue du fils d’Adam supervise l’ensemble des membres chaque matin, et elle dit : comment allez-vous ? ils disent : nous allons bien si tu nous laisses [en paix], et ils disent : Allah [par la Grâce d’Allah], prends soin de nous, ils lancent un appel à lui en disant : nous allons être récompensés et punis à travers toi»[2].
Dans ces conditions, la langue est une arme à double tranchant, donc, ce qui y dérive doit être mis minutieusement dans la balance, en évitant de se jeter dans ses ennuis.
d) la force de l’âme qui génère la détermination, la persévérance, et la continuité dans des circonstances adéquates sans l’impétuosité ni témérité, sinon on serait constamment exposés au danger. Car si cela n’a pas lieu dans des conditions appropriées, l’injuste régnera en maître. Effectivement, il est important à éviter l’impétuosité dans le cadre des jugements à cause d’une faiblesse corporelle, ou un faible nombre des individus de la tribu, etc. ce qui va affaiblir l’inspecteur à défaut du manque de véritable force et de persévérance. Parce que le plus important s’agit de la patience dans les difficultés, et la persévérance dans les calamités. Sinon, serait facile de prétendre la force imaginaire dont sa lâcheté et sa défaite vont faire rapidement l’objet de découverte.
En fait, l’obligation d'adopter cette attitude issue de son rôle pondérant dans le développement de la confiance en soi, du sentiment de la compétence personnelle chez l’individu, même s’il est juste pour s’en entraîner. Car, faute de quoi, il y aura réfraction et dégradation scandaleuses.
e) l’engagement de mettre la chose à sa place appropriée, sans la précipitation, en attendant que l’heure adéquate sonne. Et cette attitude montre la sagesse et la délibération, ainsi que la patience, et la discrétion. Puisque, la question porte sur l’autre, par ailleurs, la constitution et l’exposition de la preuve au moment inapproprié font pencher la balance en faveur des traqueurs, et également constituent en manque de jugement. C’est la raison pour laquelle, l’exactitude et la précision sont des qualités obligatoirement à adopter.
C’est-à-dire, l’adaptation de cette attitude participe, socialement, à l’application de la justice, et réduit la proportion des procès pénaux, de même que les procédures à prendre liées à l’aspect sécuritaire, judiciaire, ou humanitaire, etc.
De plus, la négligence à l’endroit de cette caractère amène l’être humain à être victime d’accusation et de poursuite judiciaire, voire d’inimitié et de rejet social. Donc, s’il n’en choisit pas avec conviction, il doit obligatoirement chercher ce qui préserve sa réputation. Car, l’indiscrètement à l’encontre des données judiciaires se distinguent d’une exceptionnelle gravité.
f) la délibération et la réflexion approfondie avant de juger et de critiquer les autres. Car une telle attitude démontre l’objectivité et le réalisme, en même temps, et le contraire reflète l’obscurité psychologique dans la mesure où s’il jouissait d’un spirit sain il n’aurait pas dû faire ça pour avoir justifié ses préjugés.
Et cela consiste en un important caractère au niveau de maintenance des relations en terme de l’impact négatif venant des impuretés de la précipitation, de l’improvisation, et du penchant psychologique qui altèrent la limpidité des relations sociales. Ce qui constitue un choc ou un gène vis-à-vis de l’autre entant qu’un être intelligent. Ce qui lui fait mal psychologiquement, voire l’effet néfaste dans le plan social. C’est pourquoi, parmi les règles connues, on peut citer le principe de l’authenticité de l’exactitude dû à l’application de la loi islamique par le musulman qui s’en engage.
Donc, le doute n’est plus permis à l’encontre de son frère musulman, en sachant que les pieux font toujours preuve de bonne impression à l’égard de l’exactitude des actions des musulmans par rapport à leurs cultes, leurs traitements opérationnels, et les contrats. Et en dehors de ça serait bizarre, comme nous en trouvons l’illustration dans la vie pratique des Infaillibles (as), ce qui fait que la précipitation d’effectuer des blâmes avant d’acquérir les preuves et les motifs est blâmable. C’est pourquoi l’exhortation de ce fragment dans cette sagesse interdit de blâmer sans l’acquisition des raisons. Et on rapporte un hadith du Grand Prophète (sawas) qu’Il a dit : «demande pour ton frère une excuse, et si tu n’en trouve pas, implore pour lui une excuse»[3]. Sur la même lancée, l’Imam Ali a dit : «Ô les gens ! quiconque sait la ténacité de son frère à la religion, et l’exactitude de la voie, n’écoute jamais les rumeurs des hommes à propos de lui, car le lanceur pourrait se tromper de cible, en transmettant la parole, et la fausseté de cela s’expose par sa conduite à la damnation, certes, Allah est Auditeur, et Témoin Oculaire. Et il n’y a pas entre la vérité et la fausseté que quatre doigts, et on Lui (as) demanda que veut -il dire par cette parole ? Il rassembla ses doigts et les mît entre ses oreilles et ses yeux, et dît : la fausseté c'est-à-dire que j’ai entendu, et la vérité c'est-à-dire que j’ai vu»[4]. Donc, une telle attitude ne donne pas l’opportunité de formuler un blâme à l’encontre de quelqu’un, voire son effet positive sur le respect accordé à sa personne.
g) supporter la douleur, ce qui veut dire l’aptitude à résister à la souffrance liée à la maladie sans une plainte. Car, l’exhalation des plaintes déchirantes met l’auteur dans une situation de refuse sociale, ce qui constitue des nuisances à son encontre, notamment s’il conteste la volonté d’Allah le Tout-puissant, en désobéissant à ce qu’Allah a choisi pour lui.
Néanmoins, à la suite de sa guérison, il peut parler de sa douleur, cependant, il peut consulter, durant la maladie, un spécialiste par rapport à sa maladie. Mais il n’est pas souhaitable de créer une atmosphère ennuyeuse à travers la division de la plainte.
h) mieux travailler que parler, et de ne pas faire beaucoup d’allégation, mais plutôt de prendre l’initiative à appliquer ses propos pour que les gens voient en lui la vérité et la loyauté avant qu’il perde leur confiance, ce qui va entrainer la disparition de son crédit social, de sorte que la restauration serait inutile. En sachant qu’il a les possibilités d’éviter une telle situation, en réduisant les allégations, et la promesse des projets à l’avenir dont il n’est pas prêt à tenir son engagement pour la concrétisation, même s’il y a des motifs. Puisque, cela va ternir son image en lui mettant dans un statut défavorable dont le changement serait difficile, hormis de fournir tant d’efforts…
i) être réduit au silence dans la plupart des temps, et aimer à écouter l’autre, car cette aptitude est un bien-être corporel et psychologique, de plus elle s’agit parfois de la paix, et de la sécurité, voire la capacité de silence et d’écoute de l’être humain est plus vaste que sa capacité de parole. C’est qu’en effet l’être humain parfois ne pourrait pas exprimer ce dont il veut, mais avec son silence il pourrait être une contestation ou une alerte vis-à-vis de l’autre d’une manière dont sa parole serait incapable à réaliser. Donc, on trouve dans le silence ce qu’on ne trouvera pas dans la parole, notamment, le silence constitue un instrument qui aide à connaitre l’opinion de l’autre, et ses expériences, afin de jouir davantage d’expérience et de clairvoyance.
C’est pourquoi, il est important d’effectuer la campagne populaire de sensibilisation par rapport à ce caractère, en vertu de son impact positif sur la solution de nombreux problèmes qui causent des accrochages ou des crimes. Et nous en trouvons l’illustration dans un hadith de l’Imam Sadiq (as), Il a dit : «le servant croyant ne cesse pas de bénéficier du bienfait que l’on écrit en son faveur tant qu’il est réduit au silence, et s’il a parlé, on écrit un bienfait ou un péché»[5]. Alors, cela montre la vertu du silence entant qu’une garantie de la paix Ici-bas et dans l’Au-delà. De même qu’il encourage à la réception, avec ses récompenses, contrairement à la parole avec ses dérives –parfois-.
Et il est important de noter la différence entre le mutisme (aç-çamte), et le silence (as-soukute). En ce qui concerne le mutisme, on y est plongé lorsqu’il n’y a pas une confrontation qui demande la parole, mais en ce qui touche le silence, on y fait preuve lorsqu’on est en confrontation qui nécessité à parler.
Mais la préférence porte sur le silence et de ne pas répondre pour que la situation ne s’aggrave pas. Et peut-être le plus important à confirmer et à répéter, en mentionnant le silence et mutisme, c’est l’envergure du contrôle de soi. En fait, cette aptitude est un choix qui met son auteur à l’abri des dérives du bavardage, comme s’il était avec quelqu’un il n’aurait pas pris l’initiative de parler autant qu’il choisissait le contraire. Autrement, s’il était seul, il n’aurait pas commencé de parler à personne, de même que s'il était avec d’autres, il aurait choisi ses mots minutieusement dans leur dialogue, en ayant peur les effets néfastes de la parole dont personne ne connait le volume de ses conséquences. Par exemple, on rapporte un hadith de l’Imam Ali (as) : «la parole est un homme, et la réponse est une femme, et où les deux couples se retrouvent, il y’aura obligatoirement le fruit»[6].
j) le contrôle de soi dans l’étape de prise de décision, tellement que rien n'y influence. Ce qui fait que si deux options se présentent devant lui, il va les mettre en balance, et choisir ce qui va à l’encontre de son instinct, comme le Tout-puissant nous a dit dans le Saint Coran : «Et pour celui qui aura redouté de comparaître devant son Seigneur, et préservé son âme de la passion* le Paradis sera alors son refuge», (79 :40,41).
Et cela ça ne veut pas dire une résistance opposée d’une manière absolue aux instincts. Mais, les instincts doivent être contrôlés par la raison pour que son savoir ne devienne pas en ignorance lorsqu’il insiste pour se glorifier même s’il tombe dans l’erreur. C’est pourquoi, la sagesse appelle à la conscientisation des masses à l’égard de la nécessité de marcher sous l’ombre de l’intellect et de la raison qui correspond aux lignes cognitives générales. Car une telle disposition aide à prendre des décisions jutes. Donc, il est nécessaire que la vision soit globale, pour que les données soient matures et importantes.
Contrairement aux réactions improvisées qui amènent au but. Quoique, elles compliquent la situation Ici-bas et dans l’Au-delà. Donc, cette disposition jouit d’une dimension influente par rapport à la découverte de l’aptitude de l’être humain à l’endroit du contrôle de soi pour se retrancher des effets éphémères.
A la fin de l’explication de ces caractère, l’Imam Ali (as) a montré l’importance accordée à l’adaptation de ces nobles qualités que ce soit d’une manière partielle ou intégrale, et également l’intérêt qu’Il a porté au fait de ne pas les renoncer à cause de l’incapacité de les adopter intégralement, car il vaut mieux prendre un nombre minimal que laisser le nombre maximal sans rien y prendre. A vrai dire, c’est une exhortation pour supprimer tous les mauvais caractères, et à rejeter de leur obéir à cause de leurs conséquences néfastes liées au malheur de l’être humain. Donc, le dernier n’a pas le droit à l’excuse concernant le renoncement de ces sales habitudes. Parce que, cela constitue une société dans laquelle les individus s’intègrent lorsqu’ils sentirent qu’il y a des caractères négatifs qui peuvent gangréner la société, ils se mettent debout pour la réadaptation et la réorganisation du système, à travers le rôle de la réforme, et l’implication des chercheurs sociaux et d’autres qui sont censés à éduquer les individus de la société…
[1]- Kanz-ul-Ummâl, 3/557, tome 789.
[2]- al-Kâfi, 2/115/ tome 2.
[3]- Bihâr-ul-Anwâr, 72/197.
[4]- Bahj-ul-Balâgha, 2/24.
[5]- al-Kâfî, 2/116, tome 21.
[6]- Kanz-ul-Ummâl, 3/695, numero 8489.