« La pensée est un miroir serein, et la considération est un prémonitoire conseiller, et le fait d'éviter ce que tu détestes pour l'autre suffit pour l'éducation de soi-même »
Le Référent Religieux Cheikh Mohammad al-Yacoubi (que Dieu lui accorde la longévité)
Au Nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
« La pensée est un miroir serein, et la considération est un prémonitoire conseiller, et le fait d'éviter ce que tu détestes pour l'autre suffit pour l'éducation de soi-même ».
Des mécanismes à adopter
Cette sagesse appelle à adopter des importants mécanismes de vie à travers l'assemblage de nombreuses particularités qui vont offrir à l'être humain la force et l'exactitude…
Le premier mécanisme: contempler sur les questions de la vie, et exposer les uns sur les autres, pour se profiter, à travers de sa comparaison, de ce qui lui incite à en continuer, ou s'en arrêter si les aperçus de la route s'éclaircissent devant lui, tellement qu'il se retranche de la tromperie.
En conséquence, sa pensée consiste en une occasion de connaitre ce qui se cache chez l'autre. Alors, s'il analyse les situations avec une comparaison stricte en liant les dispositions et les résultats, il va déduire la solution adéquate… si tel n'est pas le cas serait difficile d'aboutir à une décision appropriée s'il ne bénéficie pas de la Miséricorde de son Seigneur le Tout-puissant. C’est pourquoi, l'être humain ne doit pas se précipiter, néanmoins il se donne obligatoirement l’opportunité de penser, et de se rappeler l’expérience de l’autre, en se servant de ces fautes, ainsi qu’en reluisant ses réalisations, dans ce cas, il peut espérer la droiture et le succès. Et l’Imam Ali (as) a utilisé le miroir serein comme une métaphore, en raison du reflet des choses à partir du miroir, et la clarté du visible pour qu’il parvienne au degrés d’évidence, si bien que celui qui feint le flou soit blâmé. Et cet état de réflexion ne se serait pas passé si un coup d’œil ne se faisait pas sur le miroir. C’est pour cette raison que beaucoup veulent exposer leurs corps sur les miroirs. Alors l’appel de l’Imam (as) à exposer les cœurs, en éclaircissant le miroir adéquat pour cela, aide le regardeur clairvoyant à se retrancher d’envie d’être célèbre, et de l’agitation charnelle, en traitant avec les offres et les propositions selon leurs dimensions et standards.
Deuxième mécanisme : prendre en considération ce qui arrive à autrui, comment et pourquoi ? en vue de s’en servir, pour de ne pas tomber dans l’impasse. C’est qu’en effet, le fait de prendre en compte ce qui arrive à son prochain, consiste en un appareil d’alerte de bonne heure. Ce qui fait qu’il en jouit de la protection, et de la préservation pour ne pas être la victime du même problème. Et cela constitue une importante mode pratique. En réalité, il n'y a pas un moyen plus sûr, et plus garant que celui-ci, en vertu de son effet positif sur le sentiment de l’homme à l’égard de la stabilité et de la sécurité.
Le troisième mécanisme : être juste dans ses évaluations des choses, et de ne pas refaire ce qui fait l’objet de sa contestation par rapport à son prochain. Par contre, il doit obligatoirement éviter de s’en impliquer, voire la force de la détermination. Sinon, quel est l’intérêt de se rappeler les actes de l'autre, et de la détermination de les prendre en conscience ?! et cela veut dire que le temps, de même que l’effort doivent être objet de calcul, donc on ne doit pas les négliger, en raison de l’inutilité du rappel qui n’incite pas la considération, et également de leur inutilité (rappel et considération), s’ils ne conduisent pas l’être humain à s’éduquer, et maitriser son soi, pour qu’il ne refaire pas ce dont son danger est évident par rapport à son pressentiment.
Donc l’appel porte sur l’interrogation à l’égard des choses, leur jugement, et l’engagement par rapport à ce qui en dérive. Puisque, l’absence de l’engagement conduit à l’impasse, pendant qu’on devait en éviter afin de concrétiser l’objectif.
La contemplation
L’Imam Ali (as) dit : « vous allez voir si vous regardez, et vous allez être guidés si vous vous guidez, et vous allez entendre si vous écoutez ». L’appel porte sur la contemplation sur les créatures du Tout-Puissant dans les cieux, et sur les terres, et également sur ce qui se passa avec les anciennes nations, ce qui montre la Puissance du Tout-Puissant et sa Grandeur, et sert le confus en fortifiant la certitude de celui qui cherche la guidance. En conséquence, personne n’a plus le droit à l'excuse à cause de l’ignorance après avoir été doté, par le Tout-Puissant, de différents niveaux qui servent à se guider en constituant une preuve de l’existence du Tout-Puissant. Et nous en trouvons l’illustration dans le Saint Coran : « Dis : "Parcourez la terre et voyez comment Il a commencé la création. Puis comment Allah crée la génération ultime. Car Allah est Omnipotent » (29 :20).
« Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, [pour leur dire]: "Adorez Allah et écartez-vous du Tagut". Alors Allah en guida certains, mais il y en eut qui ont été destinés à l'égarement. Parcourez donc la terre, et regardez quelle fut la fin de ceux qui traitaient [Nos messagers] de menteurs », (16 :36).
« Dis : "Parcourez la terre et voyez ce qu'il est advenu des criminels », (27 :69).
« N'ont-ils pas médité sur le royaume des cieux et de la terre, et toute chose qu'Allah a créée, et que leur terme peut-être déjà proche ? En quelle parole croiront-ils après cela ? », (7 :185).
« N'ont-ils donc pas observé le ciel au-dessus d'eux, comment Nous l'avons bâti et embelli ; et comment il est sans fissures ? », (50 :6).
En fait, le tourisme a un rôle majeur, ainsi que l’histoire, et les autres spécialisations scientifiques, telles que l’astronomie, la géologie, la médecine, la biologie, et l’agronomie pour connaitre la grande réalité de l’univers, ce qui soutire de l’homme le doute.
Et l’Imam Ali (as) avait paraphrasé une allusion concernant ce sujet en disant : « le matin est certainement lumineux pour celui aux deux yeux » ; ce qui montre l’achèvement du cadre général du paysage de l’univers, qui ne demande guère aux créatures que la réflexion, la contemplation, et la méditation afin d’atteindre et d’embarquer sur le navire du Salut. Et si tel n’est pas le cas, les choses s’entrecroiseraient et se ressembleraient, ce qui amène la confusion de la spéculation qui conduit à l’impasse, et faisant perdre l’homme son temps, et son crédit le plus important[1].
Le savoir :
« Le savoir a débité le subterfuge des chercheurs de faux-fuyants ». C’est une explication d’une réalité, à savoir le savoir constitue un instrument vital d’un intérêt direct. Car c’est la lumière à laquelle l’homme a recours à l’élucidation des réalités, à la découverte des inconnus, et à la distinction des choses. C’est qu’en effet, il est une source riche, qui serait disponible au moment du contrôle de différentes ressources, de façon spirituelle et matérielle.
D’où, il met l’homme dans une situation acceptable, étant en conformité avec tout le monde. Partant de ce fait, on remarque l’affection et l’amour des cœurs à son égard, ce qui fait qu’il est parfois compétitif par rapport à l’argent. Donc, si quelqu’un omet sa quête [le savoir], il n’aura aucun droit à l’excuse, hormis l’existence de véritables obstacles qui lui en empêchent. Dû à son importance, comme un moyen d’aboutir à un stade où l’homme s’élève à la perfection, il est obligatoire de le rechercher, même si on interroge seulement les hommes de sciences pour qu’on ne soit pas privé de son fruit, et perdant Ici-bas et dans l’Au-delà, notamment ses canaux et ses voies de réception sont disponibles, entre autres l’audiovisuel, ce qui fait que même les handicapés peuvent y avoir accès.
C’est pourquoi nous sommes devant une responsabilité humaine par rapport à la nécessité d’apprentissage, dû à son rôle de sauveteur à l’égard des problèmes de l’ignorance, du sous-développement, et de la pauvreté néfaste mentalement et corporellement, étant donné que certains musulmans ne sont pas en conformité avec les prescriptions de l’Islam, ou ils n’essayent pas à se développer dans de nombreux domaines de la vie.
C’est la raison pour laquelle, le discours coranique est destiné au savant : « Et afin que ceux à qui le savoir a été donné sachent que (le Coran) est en effet, la Vérité venant de ton Seigneur, qu'ils y croient alors, et que leurs cœurs s'y soumettent en toute humilité. Allah guide certes vers le droit chemin ceux qui croient», (22 :54). « Et ils demandent de hâter [la venue] du châtiment. S'il n'y avait pas eu un terme fixé, le châtiment leur serait certes venu. Et assurément, il leur viendra soudain, sans qu'ils en aient conscience », (29 :53). «Et ceux à qui le savoir a été donné voient qu'on t'a fait descendre de la part de ton Seigneur est la vérité qui guide au chemin du Tout Puissant, du Digne de Louange », (34 :6). Plutôt, le savoir consiste en un standard de la distinction entre les hommes : «Dis : "Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?" Seuls les doués d'intelligence se rappellent », (39 :9). «Allah élèvera en degrés ceux d'entre vous qui auront cru et ceux qui auront reçu le savoir. Allah est parfaitement Connaisseur de ce que vous faites », (58 :11).
Le cœur
« Le cœur constitue les manuels de l’œil ». Le développement corporel de l’être humain se fait à travers la croissance des cellules structurelles basées sur l’énergie. Et cette dernière attend sa liaison avec ses sources, et son alimentation de ce qui lui permet à travailler ou continue le travail. Ce qui fait que nous allons avoir besoin le soutien organisé sur tous les niveaux. Ainsi que, l’être humain a besoin dans son développement et sa formation intellectuelle des sources de l’énergie qui lui aident à continuer son voyage dans la vie sans retarder.
Et cela nécessite l’effort personnel de l’individu ou le soutien de l’autre. Et la sagesse appelle l’être humain à rationaliser ce qu’il reçoit par le biais d’une lecture correcte, ou d’une considération d’un fait déjà affronté. Alors, la disposition scientifique innée se persévère chez-soi, et elle prospère dans sa culture qui se reflète sur sa personnalité, de même qu’elle réalise d’autres acquis utiles.
C’est qu’en effet, la sagesse constitue un indice significatif qui sert à comprendre que l’effet direct par rapport aux problèmes et aux troubles qui font souffrir l’être humain, est dû à son omission à l’égard du choix des sources de sa culture, ce qui laisse son impact sur son intégrité intellectuelle. C’est pourquoi, il est nécessaire d’être proactif pour s'en mettre à l’abri, en s’occupant de ce qu’il voit, et de ce qu’il garde pour son reflet sur l’organisme de son savoir et de son action. C’est qu’en effet, il stocke des données venant de ce qu’il regarde et de ce qu’il lit.
En fait, il se base sur la vision de l’œil comme l’une des sources les plus importantes, ce qui requiert la coordination entre sa détermination intellectuelle et ses sources pour que sa croyance ne soit pas contradictoire avec sa vision intellectuelle fondée sur la base authentique…
Ainsi que la sagesse confirme la fausseté de la pensée du fatalisme qui amène l’être humain dans une situation irresponsable par rapport à ses actions et ses paroles, en accusant l’environnement et l’entourage, aussi bien que d’autres. Quoique, l’homme doit prendre sa responsabilité en personne. Et s’il ne choisit pas bien ce qu’il lit, ou bien ne comprend pas ce qu’il lit, sa vision se distinguerait de l’opacité, et de la complexité, dans ce cas il est le responsable de son affaire, alors il n’aura pas le droit à l’excuse en se mettant volontairement sur le mauvais chemin.
La dépense quotidienne en fonction de la taille de la famille :
« Une petite famille constitue l’une des deux richesse ». Certains se plaindraient la pauvreté, en étant dans un trouble psychologique, en demandant la croissance et l’abondance. Cependant, il y a une relation évidente entre ce dont l’homme a besoin et ce dont il dépense. Ce qui fait que si les membres de la famille ne sont pas nombreux, ses dépenses financières se réduisent par rapport à la taille de sa famille, donc un peu d’argent lui suffit. Contrairement à celui qui a besoin beaucoup d’argent relativement aux nombreux membres de sa famille.
Ainsi, la sagesse nous explique une chose raisonnable qui échappe certaines personnes, à cause de la pression de la pauvreté, de même qu’elle apaise certaines souffrances et angoisses psychologiques… en conséquence le servant doit faire preuve de reconnaissance à l’endroit du Tout-puissant d’avoir rendu facile sa vie. En même temps il doit essayer d’améliorer sa condition de vie, et de ne pas être victime de ses illusions et de ses imaginations qui le poussent à agir de façon maléfique, en y passant inutilement son temps.
La propagation de l'amour et de l'affection :
« Les cœurs des hommes sont farouches, et quiconque les apprivoise, ils l’acceptent ». Cette sagesse appelle à la division des atmosphères d’amour et d’affection parmi les individus. De sorte qu’une telle attitude devienne parmi les questions enracinées dans la société, pour qu’elle laisse son empreinte sur la résolution de nombreuses difficultés d’une manière difficile à réaliser avec les solutions traditionnelles qui sont à l’encontre de cette sagesse. Alors, la bonne éthique qui génère la tolérance, l’indulgence et la mansuétude consiste en un instrument indispensable pour concrétiser des gigantesques acquis.
Donc, cette sagesse nous enseigne à s’abstenir de la violence, en adoptant la compréhension et la communication pour résoudre les problèmes. Car la violence complique la situation, et elle n’offre pas l’opportunité de la réforme, notamment la nature de l’être humain produit une certaine réserve sur des inconnues. C’est pourquoi, il est difficile d’acquérir les cœurs. Mais, si nous soumettons notre traitement avec l’autrui à l’éthique, serait plus facile de réaliser l’objectif sans aucune difficulté. Seulement il serait nécessaire de patienter en donnant le temps à l’autre partie pour qu’il soit prêt d’accepter la nouvelle relation. D’où, la sagesse serait indispensable dans cette phase, en supportant certaines manières issues des réactions temporelles.
En fait, la sagesse encourage à établir des relations sociales en raisons des bienfaits liés à cette attitude humaine.
L'assiduité :
« Une petite quantité avec l’assiduité est mieux qu’une grande quantité en ayant par-dessus les épaules ». Cette sagesse appelle à l’équilibre dans les pratiques, et à ne pas mesurer les choses sur la base des standards de quantité, mais plutôt sur la base des standards de l’assiduité et de l’engagement, et de l’envergure de l’impact sur l’âme et la conduite. Sinon, les machines sourdes seraient mieux que les hommes dans la mesure où elles produisent d’une multitude innombrable de quantité qui répond aux besoins nationaux, régionaux, de même qu’internationaux. Tandis que, il ne fait pas l’ombre d’un doute que cette mesure n’a pas de l’importance à cause de son incapacité de faire sortir la machine de son cadre naturel.
Ce qui veux dire que l’importance porte sur l’exploitation de cet effort au profit du l’exploiteur lui-même. Faute de quoi, il va être tombé dans l’une des deux dos-d’âne : soit la rotation dans un cercle vide en bénéficier seulement de l’épuisement corporel, soit se pavaner en cherchant d’être l’objet de louanges par rapport à son travail, ce qui va le faire tomber dans les pièges de Satan, en mettant son travail en dehors du cadre du dévouement à Allah le Tout-puissant, en conséquence il sera en privé de ses récompenses. Et nous en trouvons l’illustration dans le Saint Coran : « Le jour où chaque âme se trouvera confrontée avec ce qu'elle aura fait de bien et ce qu'elle aura fait de mal; elle souhaitera qu'il y ait entre elle et ce mal une longue distance! Allah vous met en garde à l'égard de Lui-même. Allah est Compatissant envers [Ses] serviteurs », (3 :30). Et cela ne fait pas l’objet de préférence pour l’être doué de sens.
Et ceci nous indique la nécessité de prendre en considération l’aspect psychologique de ce que l’être humain fait. Autrement, il va perdre le goût des grandes notions de la dévotion et des nobles objectifs qui l'auraient aidé de changer sa situation, en se dirigeant vers la promotion et la perfection.
L'omission à l'endroit de la réalité de la mort :
L’Imam Ali (as) dit, ayant entendu quelqu’un qui riait lors des funérailles : « Comme si que la mort était prescrite pour d’autres à l’exception de nous, et comme si que la vérité était un devoir qui incombe les autres sauf nous, et comme si que celui dont nous voyons parmi les morts c’était une histoire de voyage, et d’ici peu de temps ils nous reviennent, leurs nouvelles s’agissent leurs tombeaux, et nous mangeons leurs héritages, ensuite nous oublions tout conseiller et conseillère, et nous nous jetons à la pandémie ».
Cette sagesse exhorte l’être humain à se rappeler toujours la réalité de la mort pour but d’acquérir le crédit sur lequel il se base pour améliorer sa situation dans l’Au-delà. « Le jour où tu verras les croyants et les croyantes, leur lumière courant devant eux et à leur droite; (on leur dira) : "Voici une bonne nouvelle pour vous aujourd'hui : des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux pour y demeurer éternellement". Tel est l'énorme succès », (57 :12).
« Les gens du Paradis crieront aux gens du Feu : "Certes, nous avons trouvé vrai ce que notre Seigneur nous avait promis. Avez-vous aussi trouvé vrai ce que notre Seigneur avait promis ?" "Oui", diront-ils. Un héraut annoncera alors au milieu d'eux : Que la malédiction d'Allah soit sur les injustes* qui obstruaient le sentier d'Allah, qui voulaient le rendre tortueux, et qui ne croyaient pas à l'au-delà», (7 :44-45).
« Et les gens du Feu crieront aux gens du Paradis : "Déversez sur nous de l'eau, ou de ce qu'Allah vous a attribué." "Ils répondront : Allah les a interdits aux mécréants" », (7 :50).
Il ne prend pas la balle au bond, ni saisit l’opportunité au moment où elle se présente. En conséquence l’envergure de sa perte s’augmente en voyant les réalités dont il s’en doutait. Et également, il ne peut pas se désister sa responsabilité après avoir vu les morts quittaient leurs demeures sans retour, et ils ont été enterrés devant la foule, de plus, leurs biens ont été transportés en faveur d’autres personnes, ce qui confirmait leur départ sans retour à cause de la mort. En réalité, l’homme doit tenir compte cette réalité d’une manière théorique et pratique. Sans quoi, l’homme va perdre l’intellect et les membres dont Allah le Tout-Puissant lui a accordés comme catalyseur de succès.
En outre, supposons que les excuses des jeunes par rapport à leur attachement abusif à la vie seraient admissibles, est-ce que l’homme doit oublier ses appareils audibles qui servent à percevoir les conseils théoriques et pratiques comme s’il était privé de ses parties sensorielles, si bien qu’il ne puisse pas se servir de cette vaste quantité d’informations à son profit, en se retranchant de ce résultat maléfique dans l’Au-delà ?!
[1]- Nahjul Balâgha, numero 639, 159.