Certes la religion acceptée d'Allah, c'est l'islam

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Certes la Religion Acceptée d'Allah, C'est l'Islam

 

Au Nom d'Allah le Tout-puissant

"Certes la religion acceptée d'Allah, c'est l'islam" (3:19)[1]

La religion en tant que terme c'est un système de croyances, de règles et de pensées qui déterminent la conduite de l'être humain. Et tout être humain en ce monde est censé d'être croyant d'une religion, même les peuples les plus primitifs. Et cette religion pourrait être céleste ou idolâtrique aux caractères humains. Même ceux qui se prévalent d'être des non-religieux ils croient en des libertés débauchées telles que l'homosexualité et la répression des valeurs religieuses sublimes.

Et ce verset (qui marque le début du sermon) met en relief l'état naturel chez l'être humain, en tenant compte cette réalité. Ce n'est pas parce qu'il est obligatoire pour l'être humain d'embrasser une religion, mais parce que le verset vise directement la seconde question qui s'agit de la connaissance de la religion qui doit faire l'objet de croyance de l'être humain, orientant sa conduite, organisant sa vie. Car, Dieu le Tout-puissant, de par Sa Grâce, Sa Faveur et Sa Clémence ne laisse guère l'être humain en rade dans l'obscurité, passant toute sa vie dans le tâtonnement dans sa recherche de vérité. C'est pourquoi, Il a mis en évidence la réalité étant en charge de conduire l'être humain au bonheur et au salut (Certes, la religion accepté d'Allah, c'est l'islam). Donc, la religion est restreinte à l'islam, c’est-à-dire toute autre forme de religion est réprouvée, même si elle est fruit de gigantesques efforts lors de sa conception.

Et l'Islam c'est la soumission à Allah le Tout-puissant. C'est un titre général, mais dans ce contexte se limite à la religion islamique apportée par le Prophète Mohammad (sawas), le Sceau des Prophètes. Car c'est la religion la plus complète et la plus précise pour concrétiser le sens de l'Islam qui recouvre l'ensemble des domaines de la vie individuelle et sociale. C'est pourquoi, c'est la religion islamique seulement qui peut contenir ce sens, "Aujourd'hui J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J'agrée l'Islam comme religion pour vous", (05:03). Elle comporte la foi qui exige la croyance en tous les Anciens Prophètes et la véracité de leur révélation "Dites: nous croyons en Dieu, à ce qui nous  été révélé, à ce qui a été révélé à Abraham, à Ismaël, à Isaac, à Jacob, et aux tribus, à ce qui été donné à Moïse, et à Jésus, à ce qui a été donné aux Prophètes, de la part de leur Seigneur. Nous n'avons de préférence pour aucun d'entre eux, nous sommes soumis à Dieu", (02:136). (03:84). Cependant, l'adoration et la religiosité se font conformément à la charia islamique.

La raison et la nature humaine acceptent cette réalité sans avoir besoin d'avancer des preuves, seuls les orgueilleux en doutent "Ils les nièrent injustement et orgueilleusement, tandis qu'en eux-mêmes ils y croyaient avec certitude. Regarde donc ce qu'il est advenus des corrupteurs" (27:14). Car Dieu le Tout-puissant c'est le Créateur de l'être humain, donc Il sait parfaitement en détail cet être, et ce qui consiste en objet de son intérêt; alors naturellement doit se diriger vers Lui pour savoir comment organiser sa vie d'une façon garantissant son bonheur et salut.

Un autre verset dans la même sourate met en évidence une autre raison qui invite l'être humain à embrasser l'islam, le Tout-puissant dit: "Désirent-ils une autre religion que celle d'Allah, alors que se soumet à Lui, bon gré, mal gré, tout ce qui existe dans les cieux et sur terre, et que c'est vers Lui qu'ils seront ramenés?" (03:83). En effet, tout l'univers se soumet à la volonté de Dieu le Tout-puissant, en fonctionnant conformément à un système subtile exclusive établi par Dieu le Tout-puissant. En réalité, l'être humain ce n'est qu'un atome minuscule dans cet univers se soumettant à son système; il naît avec des caractères physiques en dehors de sa volonté, il grandit, vieillit, et meurt. Et son organisme fonction en dehors de sa volonté. Et cet islam et soumission naturelle doivent s'inscrire dans la soumission législative pour que leur fonctionnement soit en conformité avec l'univers de son ensemble "Qui est meilleur en religion que celui qui soumet à Allah son être, tout en se conformant à la Loi révélé", (04:25). Sinon, l'être humain s'exposerait aux catastrophes et aux difficultés.

Et la science moderne a souligné récemment cette réalité, elle atteste que l'être humain, en dehors des traditions naturelles qui régissent son existence, il ferait l'objet de destruction et de dévastation. C'est le même cas également en ce qui concerne les sociétés et les Etats.

 Et la question figurant dans le verset "Désirent-ils une autre religion que celle d'Allah" comporte une  désapprobation et la remontrance à l'encontre de ceux qui sortent de ce système naturel harmonieux. Et la réponse vient à la suite de deux versets pour inscrire une sévère punition à l'encontre de cette sortie "Et quiconque désire une religion autre que l'islam, ne sera point agrée, et il sera dans l'Au-delà parmi les perdants", (3:85). Donc, celui qui embrasse une religion autre que celle de l'Islam il est perdant, car il a omis cette richesse grandiose mise par Allah le Tout-puissant en sa faveur, et la replaçant par des illusions et des aberrances, passant son temps précieux dans un plaisir éphémère, suivant ses penchants charnels et son égo. Nous en trouvons l'illustration dans un récit rapporté de l'Imam Ali (as): "Celui qui suit une religion autre que l'islam aura sûrement un malheur, subit une grande chute (la face contre terre) et est voué à une longue tristesse et à un tourment très dur. Je me confie à Dieu à qui je reviens, je Lui demande de m'indiquer le chemin qui va vers Lui et qui mène à la réalisation de Ses désirs''[2]. Il dit également: ''Votre religion en premier! Prenez-en bien soin, et personne ne vous séduit ni vous fait en renoncer, car le mal en elle est mieux que le bien en l'autre, parce qu'il {le mal} en elle est pardonnable, mais le bien en l'autre n'est pas agréé".

Alors, nous devons prendre en considération que l'islam ne s'agit pas seulement de l'attestation de l'Unicité et de la Prophétie, et l'accomplissement des actes de culte personnels obligatoires ne suffit guère, parce que la soumission ne se traduit pas seulement en ces pratique, mais également en l'application intégrale de la Charia ainsi que la prise en compte de la religion dans tous les domaines de la vie. C'est ça l'islam! Donc, ce n'est pas les apparences, les formes, les copies falsifiées, et les modèles décalés dans les coins et grottes. Car, parmi les signes les plus importants de la sincérité en religion c'est de la véhiculer, la propager et de faire les gens de l'embrasser. Et on rapporte de l'Imam Baqir (as): "Il n'y a pas de religion à celui qui ne fait pas preuve de religiosité par la recommandation du bien et l'interdiction du blâmable"[3]. Et le Prince de croyants (as) réprimande qui omettent leur responsabilité si bien que leur religion devienne objet de subordination par rapport à leur vie mondaine, il dit: "Votre foi même est seulement verbale, sans contenu et en cela vous agissez comme le serviteur qui croit satisfaire son maître en achevant une tâche"[4]. C’est-à-dire l'omission à l'égard de votre religion vous donne l'impression que vous vous acquittez de vos devoirs vis-à-vis votre Créateur, en impétrant de Sa Satisfaction, or c'est une fausse impression puisque la réalité se révèle autrement. L'Imam Ali dit sur ce propos: "Si tu agis de sorte que ta vie mondaine conditionne ta religion, tu as anéanti ta religion et ta vie mondaine, et tu seras perdant dans l'Au-delà, et si tu fais de sorte que ta religion conditionne ta vie mondaine, tu as préservé ta religion et ta vie mondaine, et tu seras parmi les victorieux dans l'Au-delà"[5].

Et le Saint Coran a adjugé une importance grandiose à la religion, en la mettant au-dessus de toute chose, le Tout-puissant dit: ''L'association est plus grave que le meurtre", (02:191), "L'association est plus grande que le meurtre", (02:217). Ce qui veut dire que le sacrifice de l'âme est plus simple sur le chemin de la préservation de la religion que s'en renoncer. Et on rapporte de l'Imam AS-Sâdiq (que la paix soit sur lui) concernant l'exégèse de ce verset: ''Allah donc le protégea des méfaits de leurs ruses", (40:45), il dit: ''c’est-à-dire le Croyant des gens de Pharaon! Certes, ils le décapitèrent en morceaux, mais Dieu le protégea de ne pas avoir renoncé à sa foi"[6].

Il y a beaucoup de récits des Infaillibles (que la paix soit sur eux) qui traitent ce sujet. On rapporte de l'Imam Ali (as): "Si vous êtes confronté à un dilemme portant sur votre âme et votre religion, sacrifiez votre âme pas votre religion, car sachez-vous que l'anéanti est celui dont la religion est en anéantissement, et le ruiné est celui dont la religion est en ruine"[7].

Ceux qui sont accordés la  Grâce Divine comprennent cette réalité, et ils sont conséquents par rapport à leur religion, malgré les tentations et défis dont ils s'exposent, ils s'y attachent fortement, nous en trouvons l'illustration dans le Saint Coran qui rencontre une série d'histoires relatant l'hommage réservé à cette catégorie d'humains, tels que les gens d'Ukhdud jetés dans un fossé en feu, mais en vain, car le despote n'eut guère ce qu'il voulait: l'abjuration à leur religion, ''A qui ils ne leur reprochaient que d'avoir cru en Allah, le Puissant, le Digne de louange'', (85:08). Et également les magiciens de Pharaon qui furent menacés d'amputer leur mains et pieds, ensuite les tuer, ''Décrète donc ce que tu as à décréter. Tes décrets ne touchent que cette présente vie. Nous croyons en notre Seigneur, afin qu'Il nous pardonne", (20:72-73). Ainsi que la femme de Pharaon qui n'eut guère peur de la cruauté du Pharaon en termes de punition, elle dirigea son regard vers le Tout-puissant ''Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de son œuvre", (66:11). On peut citer également les gens de la Caverne (Açhaab-ul-Kahf) qui ne furent guère séduits du prestige qu'ils jouirent dans le Royaume Romain, ni eurent peur de l'atrocité de l'Empereur romain ''Lorsqu'ils s'étaient levés pour dire: "Notre Seigneur est le Seigneur des cieux et de la terre: jamais nous n'invoquerons de divinité en dehors de Lui, sans quoi, nous transgresserions dans nos paroles", (18:14).

De l'autre côté, les perdants séduits par le Satan sont également nombreux, tel que le juge des juges de l'Etat Abbasside –il fut la référence religieuse suprême de l'Etat- qui manigança avec Al-Mohtaçim Al-Abbâssî à l'encontre de l'Imam Al-Jawâd (que la paix soit sur Lui) en raison de l'envie, car il prit le jugement de l'Imam (as) portant sur la mutilation de la main du voleur, et il sut que cela comporte du feu.

Comme le cas d'Ibn Qahtaba, le gouverneur abbasside dans le récit suivant qui met en relief un aspect de la cruauté des Abbassides, leur haine à l'encontre de la famille du Prophète (que la soit sur eux) et la persistance des tyrans et des Satans humains et djinns dans la spoliation de la religion. Dans le livre d'Ahbâr Ar-Rida de Cheikh As-Sadduq, rapporté d'Ubaïdallah Al-Bazâz Al-Nîssâburî –il fut âgé-, il dit: j'avais des affaires communes à gérer avec Hamîd Ben Qahtaba At-Tâ'i At-Tussî, je me rendis chez lui un jour, ayant appris mon arrivé, il se présenta toute suite entre mes mains, et mes vêtements de voyages me toujours couvèrent, c'était un mois de Ramadan à l'heure de la prière de l'après-midi (Az'Zuhr). Ayant entré chez lui, je le trouvai dans une maison avec piscine, je le saluai, et m'asseyais, il amena un récipient et un bidon, lava ses mains, et me demanda de laver les miennes, et je lavai mes mains, et le repas fut servi, et j'oubliai que je fus en jeûne dans le Ramadan, ensuite je m'en rappelai, et m'arrêtai, et il me dit: est-ce que pourquoi tu ne manges pas? Je dis: Ô l'Emir! C'est le Ramadan, et je ne suis pas malade et n'ai pas une excuse qui m'empêche de jeûner, peut-être l'Emir a une excuse ou un motif qui explique son attitude, et il dit: je n'ai pas aucune empêchement pour jeûner, je suis en bonne santé, ensuite il se mit à pleurer, après le repas, je lui dis: qu'est-ce que t'as mis à pleur, ô l'Emir? Il dit: Hârona Ar-Rachîd a exercé excessivement son influence sur moi lorsqu'il était Emir. Il me fit venir en nuit chez lui, une fois à l'intérieur je vis entre ses mains une bougie, une épée verte, et un domestique qui se mettait debout. Et lorsque je me mettais debout devant lui, il leva sa tête vers moi et dit: comment est-elle ta soumission à l'égard de l'Emir, je dis: mon âme et mes biens soient en sacrifice à ton honneur. Et m'ordonna de m'en aller. Et après quelques instants le messager me revint et me demandant de répondre à l'appel de l'Emir des croyants, et je me dis: nous sommes de Dieu! J'ai peur qu'il ait décidé de me tuer. Mais en ma présence il eut honte, je m'assis entre ses mains, il leva sa tête vers moi et me dis: comment est-elle ta soumission à l'égard de l'Emir des croyants? Je dis: mon âme, mes biens, ma famille et mes enfants soient en sacrifice à ton honneur. Il sourit, puisqu'il sut que Ibn Qahtaba a compris le message, et il est demandé de faire davantage preuve de générosité. Et il m'ordonna de m'en aller. Et après quelques instants le messager revint et me demanda de répondre à l'appel de l'Emir des croyants, je me présentai devant lui, et il fut toujours dans son état, il leva sa tête vers moi, et dit: comment est-elle ta soumission à l'égard de l'Emir des croyants? Je dis: mon âme, mes biens, ma famille, mes enfants et ma religion soient en sacrifice à ton honneur, il rit et dit: prends cette épée et exécute les ordres de ce domestique. Et le domestique me rendit l'épée, et m'amena dans une maison dont la porte fut fermée, il l'ouvrit, c'est ainsi que je vis un puits dans le milieu de la maison, ainsi que trois chambres dont les portes furent fermées, il ouvrit l'une des portes et il y eut à l'intérieur 20 âmes humaines ligotées de toutes tranches d'âge confondues,  il, me dit: l'Emir des croyants t'ordonne de les tuer, et ils fut tous des Alawites (descendance de Ali et de Fatima) que la paix soit sur eux. Et ils  sortirent et je coupai les têtes un par un jusqu'à la dernière personne, et leurs corps et têtes furent jetés dans le puits. Et il ouvrit la seconde porte et il y eut à l'intérieur 20 âmes humaines ligotées de toutes tranches d'âge confondues,  il, me dit: l'Emir des croyants t'ordonne de les tuer, et ils furent tous des Alawites (descendance de Ali et de Fatima) que la paix soit sur eux. Et ils  sortirent et je coupai les têtes un par un jusqu'à la dernière personne, et leurs corps et têtes furent jetés dans le puits. Et il ouvrit la troisième porte et comme toujours il eut 20 âmes humaines ligotées de toutes tranches d'âge confondues,  il me dit: l'Emir des croyants t'ordonne de les tuer, et ils furent tous des Alawites (descendance de Ali et de Fatima) que la paix soit sur eux. Et ils  sortirent et je coupai les têtes un par un, et leurs corps et têtes furent jetés dans le puits, jusqu'à ce que j'aie atteint la 19ème  âme, il n'y resta qu'un seul vieux, et ce dernier me dit: vas te faire foutre… que sera-t-elle ton excuse dans l'Au-delà en face de mon Grand-père le Messager de Dieu que la paix soit sur Lui et sa famille? T'as tué 60 âmes de ses enfants, de la progéniture de Ali et de Fatima que la paix soit sur eux. Mes deux mains frissonnèrent… et le domestique me lança un regard accompagné de mépris et de colère, alors je vins à ce vieux et le tuai ensuite le jetai dans le puits. Et c'est ainsi que je tuai 60 âmes de la progéniture du Messager de Dieu que la paix soit sur lui et sa famille, donc comment mon jeûne et ma prière me serviront-ils et je ne doute pas que je demeurai dans l'Enfer[8].

Et la tragédie de Karbala comprend des exemples des deux camps, le premier est représenté par Al-Hurru Ar-Rayâhî qui changeait de camp tout en voyant l'armée de Ibn Ziyâd décidait de tuer l'Imam Hussein (que la paix soit sur lui) et sa famille, et lorsque son compagnon lui demandait le motif de son ralliement au camp de l'Imam Hussein que la paix soit sur lui, il dit: "je fais mon choix entre le Paradis et l'Enfer, et je ne mets rien au-dessus du Paradis".

Et le deuxième est représenté par Umru Ibn Sahd Ibn Abi Waqâç, c'est un Quraïchite ayant lien de parenté avec l'Imam Hussein (as), en le connaissant très bien, mais son égo et son cupidité à l'égard de la province de Rayy et Jorjânn le poussaient dans ce crime atroce, il a perdu ce monde ici-bas et l'Au-delà, et il  répétait la nuit de la prise de décision:

Est-ce que je vais laisser Ar-Rayy en sachant qu'elle mon souhait,

Ou bien je vais revenir étant péché par le meurtre de Hussein,

Hussein c'est mon cousin et les évènements sont nombreux

Certes, Ar-Rayy c'est le plaisir des yeux de ton Umru.                        

 



[1]- Discours prononcé vendredi le 12 Rabi-ul-Awwal 1439, correspond 01/12/2018.

[2] - Nahj-ul-Bâlagha, Khutba (sermon) 161, portant sur le caractère du Prophète, sa famille, et les adeptes de sa religion, en parlant de la piété.

[3] - Bihâr Al-Anwâr, 100: 86, numéro hadith 59.

[4] - Nahjul-Balâgha, sermon 113.

[5] - Irar Al-Hikam: 3750-3751.

[6] - Bihâr-ul-Anwâr: 13/162, hadith 5.

[7] - Al-Kâfî: 2/216, hadith 2.

[8] - peut-être c'est une confusion, puisque ce qui est authentique c'est qu'il fut Abu Jahfar Al-Mançuri, car Ibn Qahtaba mourut dans une époque proche de la mort d'Al-Mançur Al-Abbâssî.